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Vacances en side car au Maroc 9

Publié par : pierre49590 le 22/10/2024

Je me redressais sur le côté, d’un coup, totalement interloqué. Ma respiration se suspendit un instant. Le silence se fit plus lourd, presque palpable, et mes pensées commencèrent à tourbillonner.Je tournais la tête vers lui, cherchant à capter chaque nuance de son expression. Il était allongé sur le côté tenant sa tête sur son coude droit, offrant l’admirable sinusoïdale de son corps d’athlète épousant le matelas, le sexe déjà dressé à moitié. Il y avait dans ses yeux une douceur que je n'avais peut-être jamais pleinement remarquée auparavant. D’un éclat profond, ils me fixaient avec une intensité nouvelle, presque vulnérable. Je remarquais le léger tremblement de ses doigts qui persistaient à m’effleurer le sexe. Ses lèvres, encore courbées par un sourire timide, semblaient témoigner de la sincérité de cette confession. Il me regardait effectivement avec une lueur de tendresse qu’il semblait ne pas vouloir dissimuler, m’offrant ainsi son côté tendre qu’il se refusait à montrer dans la vie de tous les jours.- Est-ce que tu te rends bien compte de la portée de ce que tu viens de dire. Sais-tu vraiment ce que veut dire cette expression ? Il cligna des yeux, surpris par sa question. Pendant un instant, il sembla chercher ses mots, ses pensées visibles dans la profondeur de son regard.- Oui, je m'en rends compte, dit-il finalement, sa voix empreinte de sincérité et de douceur. Je ne voulais pas te surprendre, mais c'est ce que je ressens depuis hier. J’ai pensé à toi toute la nuit, sans dormir. Je te le dis parce ce que je crois que... que... c'est la vérité.Il y avait une honnêteté désarmante dans ses yeux, une vulnérabilité que je ne soupçonnais pas depuis notre rencontre. Tout en réalisant l’incongruité de la situation, je fus touché profondément. Mais je me demandai si cette déclaration n'était pas une impulsion passagère. Ce ne pouvait être une révélation de sentiments authentiques et réfléchis !- Mais ? Et ta femme ?- Ma femme ? Mais je l’aime aussi ! Mais pas comme toi !- Mais comment pas comme pour moi ?- Je l’aime ! Oui, je l’aime ! Elle m’a fait de beaux enfants. Mais mon zob a soif ! Et elle veut de moins en moins.- Si avec moi tu fais boire ton zob, comme tu dis, alors ce n’est pas de l’amour, c’est du sexe, uniquement !- Tu peux pas comprendre. C’est la première fois que ça m’arrive ! J’te jure, j’ai pas dormi de la nuit !- Tu n’as pas dormi parce que t’avais la bite en feu ou alors pour être avec moi en ami ?- J’ai dit « mon amour » parce que c’est vrai. C’est pas que le sexe. Les autres, c’est que des femmes, des efféminés, des salopes, des merdes... Avec toi, c’est pas pareil. C’est la première fois que je trouve un homme qui est un vrai homme et qui se fasse niquer...- J’ai pas accepté, tu m’as surpris !- Quand tu t’es retourné pour me dire de pas t’appeler femme, tu pouvais arrêter là !- C’est vrai...- Alors pourquoi tu as accepté ?- J’ai vraiment eu envie de te faire plaisir et de te satisfaire...- Oui, mais pourquoi ?Je m’énervais un peu, il me poussait dans mes retranchements, par ses questions simplistes. J’avais peur de reconnaître ce que je recherchais peut-être, caché au plus profond de moi.- Ben, je ne sais pas, moi ! Tu m’énerves avec tes questions à la con !- Ne te cabre pas, fougueux étalon ! Dis-moi simplement pourquoi ?J’éludais par un bref :- Je ne sais pas !- Moi, je te le dis, c’est parce que tu m’aimes. Tu m’aimes pour accepter ce que t’as jamais fait avant.- Tu sais, l’amour, enfin moi ce que j’en sais, est quelque chose de plus compliqué.- Tu sais quoi de l’amour ? Tu sais, on dit chez nous que le jeune homme court vite, mais le vieillard marche plus longtemps. Je te dis que j’ai compris que tu m’aimes. Un peu, peut-être, mais tu m’aimes. Voilà pourquoi je t’ai dit « mon amour », que j’ai jamais dit à tous les hommes que j’ai niqué dans ma vie, je te jure ! Wallaï !.Tout en me parlant, il avait cessé ses caresses et posé simplement sa main sur la courbure de ma hanche. Ce contact me procurait une sensation bizarre et agréable à la fois, comme si un fluide passait de lui à moi. Je me demandais un instant s’il était magnétiseur, mais n’osait lui demander. Il s’approcha de moi, m’embrassa tendrement, sans salive cette fois. Puis l’excitation nous gagnant nous partîmes dans une cavalcade endiablée de caresses, de baisers, de suce, de léchage, et même de mordillements fougueux.Puis, ce fut lui qui tint à me faire jouir en premier. Il attrapa ma bite tendue à l’extrême par ses câlineries expertes, sembla montrer une hésitation avant de l’enfourner dans sa bouche et se lancer dans un pompage éperdu. De temps à autre, il se retirait, me décalottait à fond, et léchait avec force salive mon sexe, des couilles au méat et s’amusait à me caresser le frein avec sa moustache drue, me faisant crier à la fois de supplice et de jouissance. Il sut y faire merveilleusement bien, sachant ralentir au bon instant et faisant durer de très longues minutes...Il fut néanmoins surpris par mon éjaculation aussi violente que soudaine, mon gland étant littéralement en feu par sa moustache. Il recracha, avec une moue de dégoût, ma première giclée sur mon ventre et continua son branle énergique, tout en regardant amusé les jets de sperme émergeant encore de mon méat. Je fus contraint de l’obliger à cesser alors qu’il persistait avec ma verge à demi molle, la douleur étant trop forte. Il resta la tête sur mon ventre pendant que je lui caressais sa toison épaisse.- Tu es comme moi, tu fais beaucoup de jus ! Tu sais, je te le jure, Wallaï ! C’est la première fois que je suce.Je sentais les vibrations du timbre de sa voix résonner dans tout mon ventre. Ne doutant pas de sa parole, je mesurais alors le don qu’il venait de me faire. J’en fus profondément ému...Puis il revint se coller à moi et m’embrasser avec fougue. Je percevais quelques notes de mon sperme dans sa salive avec laquelle il m’inondait la bouche. Je le sentais s’échauffer de plus en plus et se frotter à moi presque férocement, par reptations à l’image des jeunes chiens. Bien évidemment, je ne pouvais ignorer la tension de son sexe démesuré, qui me labourait du sexe jusqu’au torse. J’avais la sensation qu’il vibrait de tout son corps, m’inondant de paroles de son cru.- Tu ne me traites pas de femme, au moins ?Dans un halètement, il me répondit :- Jamais, ça jamais, je te le jure ! Je te disais que tu me rendais fou. Je te disais que j’adorais ton corps, je te disais que je t’aimais... Et il répéta, accélérant ses mouvements :- Tu me rends fou, par Dieu ! Tu me rends fou !Dans l’état d’excitation où il se trouvait, je ne voulais pas qu’il se décharge sur moi. Il méritait mieux.- Calme-toi, mon Daoud, calme-toi, tu vas gicler trop tôt.- Je suis fou ! Je suis fou ! Pourquoi tu me rends fou ? Tu veux pas me sucer ?-Mais bien sûr, et avec grand plaisir ! Mais... tu préfères pas autre chose ?- Il me regarda un peu ébahi :- Te niquer ?- Parle pas comme ça, j’aime pas, dis-moi « te prendre ».Visiblement peu habitué, il répéta :- Je peux te prendre mon amour ?- Oui, mon Daoud, je veux que tu jouisses très fort !- Mais tu n’as pas mal encore au cul ?- Si, un peu, mais si tu vas doucement... Tiens, va dans la salle de bain et récupère le gel douche, ça glissera mieux.J’eus alors le bénéfice exclusif du merveilleux spectacle de ce spécimen magnifique d’homme, braquemart tendu à l’extrême et oscillant au gré de ses pas, traversant la chambre dans le contre-jour naissant. Il revint avec le flacon.- On va changer de position, tu verras, t’auras moins mal.Il me tira sur le bord du lit, releva mes jambes écartées, enduit de gel douche généreusement ma rondelle et son ch ...

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