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Voyage en side car au Maroc 33

Publié par : pierre49590 le 29/03/2025
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Il se mit sauvagement et directement à lui bouffer tout son entrejambe, comme un fou, lui donnant de temps à autre de sévères claques sur les fesses que je voyais rougir au fur et à mesure.J’entendais Madeleine miaulait de plaisir mais aussi geindre sous ses viriles claques qui, j’en étais certain, devaient amplifier son excitation. Je ne pus m’empêcher de penser :- Ah ma salope, tu es venu au Maroc pour te faire défoncer par des mecs à la réputation de bête de sexe, et bien tu vas être servie ! Tu vas les sentir tes Marocains circoncis à la grosse teub !Me vint à l’esprit la scène imaginaire de Madeleine en train de se faire défoncer par mon Daoud et ses deux fils. Tout cela, ajouté à la vue du divin cul de mon Younes, lui aussi à quatre pattes, se trémoussant tout en bouffant l’intimité de sa gazelle, m’excita au plus haut point.Je me levais, mon sexe dardant au maximum et me rapprochais de mon amant. Il faut dire que le spectacle était exceptionnel. Younes avait un cul magnifique et des fesses particulièrement bien faite. Cette peau jeune encore intact, sa rondelle toute jeune encore, ses couilles ballotant, tout cela me rendait un peu fou. Je me mis à lui caresser les fesses tout en allant fouiller avec ma langue entre ses fesses.Il me surprit par sa main me prenant fermement pour m’écarter de lui et par son ton de commandement de disant :- Non, Pierre, je crois qu’elle veut encore qu’on la remplisse de partout, cette gazelle ? Hein ma belle ? C’est ça ? Tu en veux « D Manni » (ce qui veut dire du sperme en argot local). On va te remplir avec mon copain.Visiblement, les rôles s’inversaient, l’apprenti devenait maitre de forge. Mais cela ne me déplaisait pas de lui obéir.J’étais resté néanmoins collé contre lui, mo sexe contre ses fesses, mon torse contre son dos, enserrant son torse. Je lui demandais alors à l’oreille :- Tu la prends « au petit », moi je vais lui remplir la chatte.- Oui, vas-y, moi je vais lui péter le cul. On va te perforer des deux côtés ma belle !On l’entendit simplement lancer un :- Oui ! Et mettez-les-moi bien profond vos deux belles queues ! Et faites durer !Je me glissais sous elle. Je fis jouer mon gland, qui s’était déjà décalotté par lui-même, tendu à l’extrême, contre l’entrée de sa grotte touffue, n’hésitant pas à aller titiller de temps à autre son abricot que je sentais déjà bien gonflé. J’entendais les lapements de folie de la langue de Younes qui mangeant largement tout l’entrejambe de Madeleine, venait de temps à autre effleurer mon gland. Cela ne manqua pas d’attiser mon feu intérieur. Et, visiblement très experte, elle profita du bon placement de mon gland à un moment pour venir s’empaler violemment dessus et ainsi la transpercer à fond. Je l’entendis glousser de plaisir :- Ah oui ! Elle est belle, mon chou, ta queue, je la sens bien profond en moi !Younes, ne voulant pas rester en retard, je pense, en profita pour la pénétrer si violemment à fond qu’il la projeta complètement en avant contre moi, tordant ma queue insérée à l’extrême.L’instant sembla suspendu, vibrant de chaleur et d'électricité. Younes s'était lancé dans cet acte avec une ardeur presque animale, une fougue brutale et impérieuse, comme s'il voulait prouver quelque chose, à elle, à moi, à lui-même. Chaque mouvement était chargé d'une intensité frénétique, une urgence primitive qui le consommait et qu'il déversait sans retenue.Il ne cherchait visiblement ni la tendresse ni la douceur ; il impose son rythme, puisant dans cette énergie brute qui débordait de son corps jeune et puissant. Ses muscles tendus roulaient sous sa peau hâlée, et la sueur perlait sur front que j’entreperçais, brillant sous les reflets de la piscine. Il respirait fort, haletait presque, un feu indomptable dans la poitrine, une ivresse nouvelle qui le transportait au-delà de lui-même.Elle l'accueillait dans une reddition totale, en vraie femelle soumise, le laissant se déchaîner avec cette brutalité impatiente, presque maladroite, mais chargée d'une puissance et d’une virilité brute qu’elle semblait savourer. Elle s'accrochait à moi pour suivre son rythme effréné, son corps vibrant sous ses assauts dont je percevais parfaitement la violence, comme emportée dans la tempête qu'il déchaînait sans concession. Il n'était plus un simple acteur de cette scène ; il en était le maître absolu, le « Kappelmeister ». Son regard, intense, fixe, plongeait de temps à autre dans le mien avec une détermination farouche et des lueurs enflammées. Et moi, dessous, témoin muet de cette scène où se jouait la naissance de sa virilité conquérante, je le regardais, fasciné, troublé, ne faisant passer mon plaisir sexuel qu’en second. Je me retrouvais de fait limité par les aller et retour dans ce vagin inondé de tant plaisir reçu par tout le corps, mais paradoxalement terriblement stimulé par ce spectacle. Comprenant bien que j’allais rapidement lâcher toute ma semence trop vite, j’essayais de ralentir le rythme de mes impulsions. Mais la cadence de damné qu’imposait Younes, secouant si violemment notre partenaire comme une prune risquait de provoquer une éjaculation que je ne souhaitais pas immédiate, par un réflexe bassement macho…- Attends, on va inverser.- Non, non, c’est trop bon là ! C’est bien serré ! Putain, c’est bon !- Chacun son tour, mon Younes.Et cette fois-ci d’autorité, je m’extirpais de dessous de ce corps pantelant de jouissance pour venir prendre la place de mon amant. Ce fut à son tour de se placer dessous. Il la pénétra dans la foulée et entama immédiatement son pillonnement de véritable marteau perforateur. Il la tenait à lui serrée au rien par ses mains, limitant ainsi les sursauts de la belle sous ses à coup. Je me satisfaisais de ma position qui me permettait enfin de laisser, par moment, mon zguègue turgescent à l’air libre, me rassasiant de la vue des couilles ballottant et roulant au rythme de ses assauts. Pouvant réguler mieux ainsi mon action, je savais que je pouvais durer.La belle tout à coup se mit à glapir de plaisir tout en sursautant, m’obligeant à m’extirper involontairement, mais me permettant ainsi de découvrir quand elle jouit, les abondants flots de liquide qu’elle déversa sur le pubis de mon amant. Cela dût l’exciter encore plus Younes, visiblement flatté d’avoir satisfait sa femelle, et l’inciter à redoubler ses efforts.Elle, le couvrant maintenant de baisers fougueux, continuait à souffler :--- Ouiiii ! T’arrête pas ! Vas y ! Continue ! Plus profond encore ! plus vite ! Oh quelle queue !Cela dura quelques instants, peut être une minute, puis elle s’affala sur lui. Mais Youssef me surprit par sa résistance, il continuait à la pilonner à grand coups de reins, puissants mais cette fois-ci plus réguliers. Quelle santé !Moi, à ce moment, j’étais plus excité par ce spectacle un peu fou que par les pénétrations que j’effectuais de temps à autre. Quelques minutes passèrent encore. Je me demandais comment il faisait pour tenir aussi bien. Puis, je compris alors qu’il ne tarderait plus à venir, ses halètements se faisant plus rauques. Je pénétrais alors à nouveau la belle et entamais une sarabande du diable, tout en tenant cette fois-ci mon Youssef par le reins, Il fit de même. Fut-ce l’éléments déclencheur ? Il n’en reste pas moins que dans une fulgurance et des lueurs dans les yeux, je déchargeais tout mon foutre dans la belle et sentis en même temps mon amant gueuler de plaisir en l’inondant elle aussi. Étrangement, nous donnâmes exactement en même temps, presque comme de concert, les derniers coups de reins que l’on donne dans ce cas-là… Je compris que Madeleine, sans doute titillée par notre jouissance commune, fit de même et prit son pied en même temps que nous. Décidément, nous étions faits pour nous entendre.Comblé de plaisirs, je m’affalais sur elle, entendant mon pauvre Younes souffler sous le poids de nos deux corps réunis. Nous glissâmes rapidement sur le côté. Madeleine vint recueillir avec avidité les restes de sperme de nos vits pendant que je pouvais, enfin, venir embrasser langoureusement mon bel amant. Elle ne voulu ...

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