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Voyage en side car au Maroc 44

Publié par : pierre49590 le 27/05/2025

Chaque fois que je me tendais imperceptiblement sous ses doigts, il relâchait la pression, reprenant son massage avec le plus grand sérieux, comme si rien d'équivoque ne s'était produit.Mais le jeu était là, flottant entre nous, suspendu dans l'air lourd de vapeur et d'huiles parfumées. Et je crois que Mokhtar le savourait autant que moi.Je commençais, au fil des minutes, à être plus que tendu, mon corps réagissant malgré moi à ces caresses diaboliques qui semblaient orchestrées avec une précision troublante.Par moments, je me cambrais légèrement, courbé comme un arc, incapable de masquer les frissons de plaisir involontaires que ses mains savantes déclenchaient. Mokhtar savait ce qu'il faisait, et surtout, il savait ce qu'il provoquait.Mais plus encore que ses gestes experts, c'était l'idée de Peter, dans le salon voisin, qui me plongeait dans un état encore plus fébrile. Peter… avec Djamila…Je ne pouvais m'empêcher de l’imaginer, lui et son corps nu, lui aussi entre les mains expertes d'une masseuse, subissant peut-être le même supplice, ignorant tout du double jeu de cette séance de relaxation offerte. Cette seule pensée m’électrisait, et ma position sur le ventre devenait de plus en plus inconfortable.Mokhtar le sentit-il ? Le devina-t-il ? Son silence, sa manière de ralentir légèrement ses gestes, de laisser planer une fraction de seconde de plus entre chaque pression, me fit presque croire qu'il testait ma résistance, savourant le moment où je flancherais enfin. Puis, comme s'il devinait ce que je n'osais exprimer, il posa ses mains larges sur mes flancs et, avec une lenteur étudiée, me guida dans un demi-tour fluide et naturel, jusqu'à ce que je me retrouve allongé sur le dos. Un silence s'installera. Et là, je vis son regard descendre, observateur sans aucune surprise, mais avec une satisfaction contenue, le résultat tangible de ses attentions précédentes. Je crois que mon braquemart devait être raidi à 90 degrés ou peu s’en faut...Ses lèvres s'étirèrent légèrement, et son sourire — mi-triomphant, mi-amusé —me confirma qu'il n'avait jamais eu besoin de deviner quoi que ce soit.Ses larges lèvres vinrent effleurer mon gland ; il le décalotta avec une lenteur infinie, ce qui ne fit que renforcer mon raidissement, pour venir poser un doux baiser sur mon méat inondant sa langue de précum.Quería tomar su cabeza con ambas manos, pero él sujetó mis muñecas a la mesa y comenzó una serie de chupadas largas, lentas pero minuciosas, a veces empujando mi polla hasta lo profundo de su garganta, para alejarse mejor de ella presionando fuerte mi surco coronario con su boca, haciéndole cosquillas con sus dientes al igual que mi frenillo, para alejarse de ella tirando lo más posible de mi prepucio. Y el tormento divino comenzó de nuevo a una velocidad más o menos variable. Entonces, sintiéndose sumiso, soltó mis muñecas y fue a buscar mis nalgas, deslizó una mano en mis nalgas para acariciar mi fruncimiento que sentí estirarse mientras lo hacía. Me penetró con un dedo y fue a buscar mi próstata, la cual comenzó a masajear. La acción combinada de sus labios y dedos me hizo, por primera vez en mi vida, sentir algo, algo indefinible pero cálido y agradable. Aproveché mis manos libres y su posición para acercarme y tomar con ambas manos su pene, un pene que descubrí esta vez perfectamente rígido. Le eché un vistazo: era realmente enorme. Me estaba divirtiendo con eso, lo que le hizo chillar, excitándolo visiblemente, y le hizo reforzar muy gratamente su acción sobre mí. Ver ese cuerpo musculoso de ébano negro, ya reluciente por el sudor o el vapor de la habitación, inclinado sobre mi vientre, adivinar sus costillas salientes que se movían con su bombeo, sus pectorales rozando mi pubis, su vientre plano despegando de la mesa, y sentir ese sexo ardiente, también ya cubierto de pre-semen, me volvía loco. El lo sintió, y acelerando su acción, me llevó a una eyaculación ardiente que sacudió todo mi vientre, sin dejar de chuparme mientras bebía mi semilla, chupándome hasta el momento en que mi polla se relajó por completo. Después del éxtasis, permanecí inmóvil durante mucho tiempo, como si el tiempo se hubiera detenido. Mi cuerpo, sin energía alguna, parecía no ser más que un caparazón sin resortes, con cada músculo relajado, incapaz de reaccionar. Me sentí entumecido, como una marioneta a la que le hubieran cortado los hilos, y mis sentidos permanecieron entumecidos por la intensidad del momento. La agitación interior se había desvanecido, dejando un vacío casi palpable, una especie de profundo letargo mezclado con una extraña quietud. Mi corazón, latiendo aún débilmente, parecía reverberar en el espacio silencioso que me envolvía, como para recordarme que, a pesar de todo, todavía estaba allí. En ese estado de completa derrota, cada respiración era un esfuerzo consciente, e incluso mis pensamientos, normalmente animados, parecían moverse en cámara lenta. Fue como si el orgasmo me hubiera llevado mucho más allá del placer, dejándome, por un breve instante, desprovisto de toda fuerza, feliz con un cansancio visceral que sólo pedía disiparse con el tiempo.Dans cette torpeur délicieuse, alors que mon corps s'abandonnait complètement à l'instant, Mokhtar, avec une infinie douceur, posa ses mains sur mes épaules.Sans précipitation, sans un mot, il me fit basculer à nouveau sur le ventre, le mouvement fluide, presque naturel, oserai-je dire maternel, comme si tout était déjà écrit dans le langage muet de ses gestes.Mais lorsque je sens son corps chaud me rejoindre sur la table, se rapprocher lentement contre moi, une étrange tension s'insinua en moi . Et là, le dilemme se pose. Devais-je le laisser aller plus loin ?Une part de moi hésitait, hésitait vraiment, tiraillée entre l'instinct de me redresser, de lui imposer une limite , et cette autre pulsion, plus trouble, qui me soufflait de ne pas interrompre cette danse tacite , ce glissement naturel vers quelque chose d'inédit, d'inattendu . Je me refuse ?Mokhtar n'avait rien imposé, rien demandé. Son approche était mesurée, subtile, presque interrogative. C'était à moi de choisir. Mais les instants précédents avaient été tellement merveilleux, tellement maîtrisés, que je ne pus m'y résoudre. Et puis, après tout… ne méritait-il pas une récompense pour la délicatesse dont il avait fait preuve ? Et qui sait ? Peut-être allais-je découvrir un plaisir nouveau, une sensation que je n'avais jamais envisagée, et ressentie d’ailleurs, une autre facette de cette étreinte silencieuse où les rôles se mêlaient et s'inversaient avec une fluidité insoupçonnée. Je ne pus m’empêcher de penser à Daoud... Alors je le laissais faire.Je sentis la chaleur de sa peau se rapprocher, son corps s'unir au mien dans une harmonie maîtrisée, empreinte d'un raffinement troublant. Il savait exactement comment faire, comment prendre possession sans brusquerie, me pénétrant lentement, ayant bien conscience de la taille de son vit, comment orchestrer chaque mouvement avec une précision calculée, transformant ce moment en une expérience où le corps et l'esprit semblaient s'accorder parfaitement.Ce fut une danse lente, une fusion commandée, où chaque geste traduisait son art, son expérience, sa façon unique de sublimer cet instant . Aucun excès, aucune grossièreté – seulement une intensité mesurée, un équilibre parfait entre puissance et délicatesse. Rien à voir avec la violence virile de Daoud qui me bouleversait, mais sans me donner de réel plaisir intérieur ;Je me laissai prendre par cette vague, bercé par la cadence subtile qu'il imposait, entre abandon et contrôle, entre ma propre reddition et sa maîtrise absolue.Dans l'air saturé de chaleur et d'effluves entêtantes, la moiteur de nos corps et le frisson des peaux en contact scellaient cet instant dans une parenthèse suspendue, où tout se passait sans qu'aucun mot ne soit nécessaire .Sentí una sensación de bienestar, un poco como antes en su digitación durante su sublime felación. No es un placer ni hay nada que emocione. Pero una dulce sensación de calidez interior que, por desgracia, nunca volvería a conocer en mi vida. A medida que avanzaban los movimientos, la armonía regulada que hasta entonces había dictado su ritmo comenzó a tambalearse. Mokhtar, hasta entonces perfectamente medido, casi coreografiado, dejó poco a poco que el instinto tomara el control. Su respiración, al principio regular, se hizo más corta, más áspera, llenando el aire de una nueva tensión, una brutalidad contenida que amenazaba con liberarse en cualquier momento. Sus movimientos, antes fluidos y calculados, se volvieron más espasmódicos, más opresivos, sus empujes de cadera más violentos, lanzándome hacia adelante. . Fue como si se hubiera roto un dique, como si todo el autocontrol que había mostrado hasta entonces hubiera sido barrido de repente por una urgencia animal, una fuerza primaria que ya no intentaba ocultar, pero que, si bien no me hacía nin ...

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