L’ apéro et le repas se passent dans la bonne humeur, je suis loin de Léa pour éviter tout soupçon mais je n’ai qu’une envie la rejoindre. Après un repas fort copieux et ma nuit précédente qui n’a pas été de tout repos, je soumets l’idée d’aller faire une sieste. Je vois Léa retenue par nos cousines pour aller coucher les petits puis papoter entre filles. Je savais qu’elle ne pourrait pas me suivre et tant mieux car je compte vraiment me reposer pour me remettre de mes émotions. Je tombe dans un sommeil bien profond. Je visualise Léa chez moi dans mes rêves ou on vit heureux apparemment. J’entends une voix qui m’appelle de manière exagérément douce «Mon chéri réveille toi». J’ouvre les yeux et je vois le visage hilare de mon Oncle Jean pierre. Je l’aime mais je le déteste la tout suite. Bah alors mon cri (mon surnom c’est vrai que chris c’est un peu long) on dormait bien. Mon oncle m’informe que je vais être son bras droit ou sous-fifre pour préparer la grange pour la soirée de ce soir. Mon oncle me questionne un peu sur mes histoires d’amour je reste très vague. Forcément il creuse et je lui balance un prénom au hasard pour me sortir de l’interrogatoire. On a tout installé la sono, le laptop, les lumières, on est trempé de sueur. Je vais pour partir à la douche mais la salle de bains est occupée par Léa et Manon entrain de se préparer pour ce soir. Quelques minutes plus tard j’entends à travers les cloisons que la place est libre. Une fois propre, tenue de soirée exigé a dit la tante dans le mail de préparation donc je me prépare en conséquence et je descends rejoindre tout le monde dans la grange. Pour l’occasion de notre cousinade, on a décidé de faire une grosse fête, un grand punch a été fait, une piste de dance bref une fête de famille. Au début de la soirée, je profite de tout le monde, ca rigole, ca parle de tout de rien, je remarque de Léa n’est pas là. Je demande à Manon qui avait fini les préparatifs avec elle dans leur chambre si elle est au courant. Elle me dit qu’elle ne devrais plus tarder et que lorsqu’elle va arriver ça va être dur de la rater. Rassuré, je continue de profiter, tout le monde a joué le jeu même ma mère. Ça me fait plaisir pour ma tante et ma cousine qui se sont fait suer à tout organiser. Alors que je danse avec ma tante Emilie ( la mère de Léa) Léa débarque dans une robe cocktail rouge qui lui arrive jusqu’aux chevilles qui surplombent de magnifiques talons couleur or. La robe est dos nue et échancrée jusqu’au milieu de la cuisse. Le tout avec un chignon bouclé, je suis subjugué. Mes tantes et cousines sifflent la nouvelle venue. Je tache d’être discret mais je lui montre a quel point je la trouve renversante. Ma tante m’abandonne pour danser avec sa fille. Je reste un peu en retrait et toutes les femmes de la famille envahissent la piste pour danser ensemble. Les hommes restent sur le coté, on discute, on rigole, le ti punch tabasse sévère. Je suis juste à coté d’Eric le père de Léa, je fais tout pour ne pas la regarder. Puis vient le très classique Slow ou les couples se forment, ma mère danse avec les petits, Léa et moi étant les deux célibataires, on finit par danser ensemble sous les demandes de mes cousines. Une fois collés l’un à l’autre Léa me demande si elle me plaît, je lui explique qu’elle renversante. On reste à danser tout doucement, les yeux plongés dans les yeux de l’autre. On oublie les autres au point qu’on vient nous séparer pour que les autres puissent également profiter de nous. La soirée continue, les enfants sont déjà partis se coucher, les premiers parents commencent à suivre aussi. Ça rigole toujours fort, ça danse un peu moins, le punch a commencé a faire son œuvre. Pendant tout ce temps je dévore Léa des yeux. J’essaye de me tenir loin car le rhum aidant on a du mal à se tenir elle comme moi. Puis la soirée avance ,nous ne sommes plus très nombreux, il est déjà 3h. On range un peu, Léa prétexte que sa robe n’est pas très pratique pour ça et je vois ma belle s’enfuir. On mets bien vingt minutes à ranger avec Manon et Alex. Une fois fini, la récompense du brave, on s’allume tous les trois une dernière clope et on papote de leur rencontre, ou, quand, comment? Vient mon tour et je décline tout couple pour éviter tout pieux mensonge. On rejoint notre gîte, Manon et Alex me souhaite bonne nuit en ouvrant la porte de leur chambre, je vois une boule informe sous la couette dans le lit de Léa, je me dis que ma belle devait être elle aussi épuisé des émotions de cette journée. Je rentre dans ma chambre sans même allumer la lumière, la lumière de la lune qui passe par la fenêtre me suffit à me diriger dans cette chambre que je connais mal, je jette en vrac mes affaires par terre et je me jette dans mon lit. Quelques secondes plus tard, j’entends un bruit dans la chambre, je me retourne pour essayer de distinguer la source. Là, dans le renfoncement à coté d’une vielle armoire se tient Léa en nuisette quasi transparente entrain de griffer le bois de l’armoire de ses ongles. Je dis qu’es ce que tu fais, on avait dit qu’il fallait être discret, elle s’avance vers moi un doigt sur la bouche pour me faire signe de me taire. Elle s’assoit sur moi à califourchon ce qui me déclenche une érection instantanée car madame n’a pas de culotte. On s’embrasse pendant de longues minutes. J’essaye de lui faire comprendre que c’est dangereux. Elle me réponds que tout le monde dort et que tant que je me tais personne ne viendra nous déranger. Je pose mes mains partout sur son corps, lorsque je cherche à prendre en main ses seins, Léa passe sa nuisette par dessus elle pour m’en faciliter l’accès. Je peux apprécier sa beauté grâce à au rayons de la lune qui éclairent la chambre. C’est une déesse. Sa chatte contre mon sexe me rends fou, je pétris ses seins. Je tente de me repositionner pour les prendre en bouche. D’une main elle me repousse. Je suis allongé de tout mon long, apparemment aujourd’hui ce n’est pas moi qui pilote. Je sens la cyprine coulée de ses lèvres sur mon sexe. Elle se redresse légèremen ...

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