Historias sexuales y hechos eroticos gay, bi y hetero

Me bajo del tren. Desde el andén hay que cruzar un carril para acceder a otro andén detrás del cual puedo ver el estacionamiento donde mi contacto me dio cita diciéndome que vendrá a buscarme para llevarme a casa o puede que ya lo haya hecho. otro sumiso. Como me ordenó, me puse unos pantalones cortos de mezclilla ajustados, una camiseta, zapatillas y nada más. Lo conocí en internet, todavía no lo conozco pero voy a ser su puta el fin de semana. Amo.Estoy en el estacionamiento, me dijo que ver más

Fue a finales de diciembre. Una vez más salgo a sitios de citas, como es habitual en este caso, estoy emocionado y como a menudo no hay mucha gente en línea. Algunos jóvenes me contactan, pero no coinciden con mis criterios. Luego un chico de 52 años. Quiere que vaya y lo chupe en su casa. No me atrevo. Salir solo a chupar lleva mucho tiempo y al final no mucho. Pero él es insistente y me asegura que no me decepcionará que si soy un buen seré recompensado ... La idea de encontrarme con un ver más

j’avais hurlé, je pleurais j’étais au désespoir. Il alla se positionner à coté de moi et posa le bâton juste sur le haut de mes fesses, puis je reçu un coup, ferme, douloureux, un cri m'échappa. Le bâton se posa un peu plus bas et un nouveau coup tomba, plus fort. Je respirais, c'était douloureux, le bâton était posé au milieu de mes fesses ou je reçu un coup plus fort que les deux autres, je criais, je demandais pitié, je lui hurlais que j’allais faire toutes les gorge profondes ver más

Les hommes qui me regardaient plutôt silencieusement n’attendaient que ça, j’entendis un murmure sûrement de satisfaction se lever, qui n’augurait rien de bon, il y avait aussi un long bâton, un objet qui semblai mou comme un godemichet mais très long et un autre que je regardais, un objet noir, pas de doute c’était une énorme bite, son gland démesuré semblait plus pointu qu’un gland normal, ce qui devait permettre de l’introduire dans des trous trop réduit et je n’osais imaginer ver más

Mon téléphone vibre, c'est un sms, laconique. "je suis en bas". Je réponds avec le code d'accès pour qu'il puisse rentrer. Puis je vais ouvrir ma porte. Comme à chaque fois que je reçois un homme autoritaire, je suis inquiète et excitée. j'ai laissé ma porte, entrouverte juste assez pour qu'il la repère facilement, puis je suis revenu me mettre à quatre pattes sur mon canapé et j'attends. Les secondes semblent des minutes, c'est long. Enfin j'entend le bruit de l'ascenseur. la lumière ver más

Jonathan me tira dehors, il faisait nuit et l’air était froid, je grelottais derrière lui, Alain nous suivait. Arrivé à la R15, Il me fit allonger sur le tapis de sol entre les sièges avant et arrière. Quand ce fut fait un me jeta une couverture par dessus. J’entendis Alain maugréer contre Jean qui était reparti, les privant de l’audi. Je comprenais qu’ils avait l’habitude d’utiliser le grand coffre de la trois volumes de Jean pour transporter leurs esclaves sexuels. Ce qui me ver más

J’avais du m’endormir. Je me réveillais en sentant qu’on me tirait les pieds, je voulu bouger mais mes liens m’en empêchèrent . Je retrouvais mes esprits et me souvenais ou j’étais. Je ne voulais pas ouvrir les yeux. La lueur à travers mes paupières m’indiquais que la lumière avait été allumée. On s’affairait autour de moi. A cet instant j’eus cette sensation d’être une chose. Quoi qu'ils veuillent, je ne pourrai pas résister, mais étrangement j'étais rassuré qu'ils ver más

Je me souvenais de ses paroles « tu peux crier tout ce que tu voudras, personne ne va t'entendre » je répétais le phrase.- non, non je veux une bite s’il vous plait je veux une bite.Il caressait mon cul avec la cravache- mieux que ça mon chouje repétais encore en mettant le plus d’envie possible dans ma phrase. La cravache claqua violement contre le canapé. J’étais affolé, je criais la phrase paniqué, deux fois, trois fois, je suppliais, je pleurais.- Continue ! !Je ressentit une ver más

El auto estaba rodando, los golpes de Eddy Mitchell estaban relacionados. Pronto la música se detuvo y el golpe de una puerta y luego un segundo me dijo que habíamos llegado. Esperando ver el maletero abierto, me pregunté qué actitud adoptar. Parecía que les gustaba lloriquear. Pero la caja fuerte no se abrió, se hizo el silencio.¿Me han olvidado? imposible, dejarme en el maletero es un castigo más, una humillación más!Me dolían los antebrazos, debajo de la espalda, traté de arquear mis ver más

On ne peux pas tout avoir, partie 2/2Jonathan me fis sortir de la voiture en me prenant par les cheveux et m’agenouilla sur les feuilles mortes. les quatre hommes m’entourèrent et mon maitre m’ordonna d’ouvrir la bouche. Il commencèrent à me cracher dans la bouche un par un, puis à me donner des claques de plus en plus fort. Alors que je voulu mettre la main sur mon visage, mon maitre m'attrapa fortement par le nez, me fis ouvrir la bouche et y introduisit sa main.- Tes mains servent ver más